20 perles anciennes françaises en verre, en forme de dent de lait torsadée, 8 mm, pour broderie ou bijoux, Perles de Briare Bapterosses, 1074
Longueur : 0.8 cm - 8mm ou 7 mm
Largeur : 5 mm ou 4 mm
Trou de 1 mm sur la longueur
Forme : Dent de lait
vers 1900
1074/20/8 IVORY IVOIRE 8mm - 20 PERLES
Longueur : 8 mm - 0.8 cm - 0.314"
Largeur : 5 mm - 0.20"
1074/20/8 BLANC WHITE 8mm - 20 PERLES
Longueur : 8 mm - 0.8 cm - 0.314"
Largeur : 5 mm - 0.20"
1074/20/8 PARME - PURPLE 8mm - 20 PERLES
Longueur : 8 mm - 0.8 cm - 0.314"
Largeur : 5 mm - 0.20"
1074/20/7 PARME - PURPLE 7mm - 20 PERLES
Longueur : 0.7 cm ( 7 mm) - 0.27"
Largeur : 4 mm - 0.16"
1074/20/8mm VERT - 20 PERLES
Longueur : 8 mm - 0.314"
Largeur : 5 mm - 0.2"
1074/20/8 mm ROSE - 20 PERLES
Longueur : 8 mm - 0.8 cm - 0.314
Largeur : 5 mm -0.2"
Trou de 1 mm sur la longueur
1074 /20/ 7 mm ORANGE - 20 PERLES
Longueur : 0.7 cm ( 7 mm) - 0.27"
Largeur : 4 mm - 0.16"
1842 BLEU VIF 8 mm - 20 PERLES
Longueur : 8 mm - 0.8 cm - 0.314"
Largeur : 5 mm - 0.20"
Jean-Félix Bapterosses ouvre sa première fabrique de boutons dits de porcelaine en 1845 dans le quartier parisien de Belleville. Deux ans à peine après l'ouverture de cette usine, et grâce à plusieurs inventions pour lesquelles il obtient une médaille d'or, les usines à Longton de Minton et Chamberlain doivent abandonner la fabrication de boutons. Le succès aidant, il doit s'agrandir et déménage sa manufacture rue de la Muette. Le succès de son entreprise et les troubles sociaux découlant des évènements de 1848 l'incitent à chercher en province un autre emplacement pour sa manufacture.
En 1850, à la recherche d'un emplacement pour agrandir son usine, la légende rapporte que c'est à l'occasion d'une panne de diligence qu'il découvre la faïencerie de Briare alors en difficultés financières. Il la rachète en 1851. Aidé par son frère aîné, Jean-Frédéric Bapterosses, plus porté sur la chimie, il se met à développer les formes et les couleurs de ses produits. Il construit quelques années après une briqueterie aux Combles, près de Châtillon-sur-Loire qui lui permet d'agrandir considérablement la faïencerie d'origine, occupant alors 17 hectares.
En 1857, il lance la fabrication des boutons à queues métalliques, et en 1864 celle des perles.
Il devient, à l'occasion de sa transformation en société anonyme, le premier président du conseil d'administration de la faïencerie de Gien pour laquelle il invente un système d'encastage spécial qui est en partie à l'origine du succès de la marque. Il fait construire dans son enceinte, outre une annexe à sa fabrique de perles et de boutons de Briare, une usine à gaz qui assure notamment l'éclairage public de Gien pendant 20 ans (jusqu'en 1886).